Tévéké tua le caÏman et ses petits
Il fut un homme qui était du pays vaki d'autre fois,; un jour revenant de son campement arrivé aux environs du fleuve au milieu des champs, trouva la caÏman et ses petits fatigué par le soleil.
Le caïman le supplia de le ramener lui et tous ses petits. L’homme prit de pitié, porta la caïman dans un sac, arrivé au fleuve, le caïman dit ce dernier qu’il va le dévorer ; Tévéké supplia caÏman est-ce vrai ? Le caÏman ne voulu pas comprendre.
Cependant, la caille qui était entrain de picorer en cachette les apparue ; elle les demanda ce qui n’allait pas entre eux ; Tévéké se debrouilla à expliquer leur histoire. La caille dit qu’elle ne peut comprendre parait histoire sans revoir comment la scène s’est dérouler du champ jusqu’au fleuve.
Alors les deux se mirent d’accord de reprendre la scène. Tévéké repris le caÏman et ses petits les remis dans le sac, les porta jusqu’en plein champ là où il les a pris. La caille de demander à Tévéké s’il mange souvent le caÏman ? L’homme lui dit oui.
Elle lui dit voilà le caÏman tue le et tous ses petits et rentre avec les manger. Depuis ce jour, le royaume de Tévéké a proscrit la viande de caille, par ce qu'elle sauvé leur ancetre.
A la fin, frères le message tiré de cette histoire est : tout le bien que l'’homme fait sur cette terre ne se perd jamais.
Conté par Le regretté patriarche NDJOH OMBALLA et écrit par SM BOKONO Joseph Sup. Gén. d'Alpha. tuki
Le caÏman et le chasseur Tévéké
Histoire: On ne peut effacer la cicatrice
Un priarche raconta une histoire il dit: une femme fut la concubine du lion, elle alla tout les temps pendre les gibiers que son amant lui gardait, et elle revenait avec au village.
Les gens du village s'étonnèrent et lui demandaient qui lui donnait ces gibiers. La femme de leur dire qu'elle trouve souvent ces animaux deja tués et ne connait qui en est l'auteur. Ainsi chaque fois; la femme ne faisait que aller en brousse et ramener sa hote pleine d'animaux morts.
Puis un jour il manqua de l'eau au village de ladite femme; elee quitta ensemble d'une autre en quette d'eau; en marchant, l'autre constata le bosquet où habitait; elle dit à lautre femme que: j'ai peur chaque fois que je passe auprès de ce bosquet; un lion vit là.
Celle qui est la concubine du lion lui repondit: n'ais pas peur, il ne fera rien, elle continua de parler disant, il a une mauvaise gueule qui sent mauvais. Elle parlait ainsi sans toute fois savoir que le lion était entrain de l'écouter. Et elles passèrent puiser de leau à la source, puis repartir chez elles.
un autre jour, cette femme partit retrouver le lion afin de ramasser d'autres animaux morts. Le lion lui dit alors: ramasses ces animaux que voilà, rentre chez toi et reviens dans trois jours, car j'ai à te causer.
Trois jours après, la femme se redit au rendez-vous. Arrivé au lieu de rencontre, le lion lui dit: voilà d'autres animaux tués, bien avant de les ramasser, dis-moi, qu'as-tu en main là?
La femme repondit, c'est la machette. Le lion repris et dit: " blesses - moi avec à l'épaule", sa concubine refusa. Le lion lui dit: " si tu ne fais pas ce que je te demande, c'est moi qui vais le faire. Avec toute la peur, la femme se laissa faire s'arma de la machette et pan! sur l'épaule du lion.
Après avoir reçu cette blessure, lion lui dit alors: prends tes gibiers et va! Cela est passé. Quelques jours après, la femme revint encore de meme que souvent auprès du lion; son amant lui: Notre amitié est fini, meme les dons de gibier que tu recevais s'arrete là; car tu ne peux pas effacer cette cicatrice sur mon épaule
Conté par Le regretté patriarche NDJOH OMBALLA
et écritpar SM BOKONO Joseph Sup. Gén.
d'Alpha. tuki
La femme
Le lion